Le comité « tunnels » de l’AIPCR en bonne voie pour la préparation du congrès mondial de la route qui se tiendra en novembre 2019 à Abou Dabi

Il a tenu une réunion très productive à Seattle les 30 et 31 mai dernier, à l’invitation de Bijan Khaleghi membre actif du « Comité tunnels » (Départements Transports de l’Etat de Washington) et d’Angela Brady (adjointe au Directeur - projet du Front de Mer - ville de Seattle.

Cette réunion a notamment permis de faire le point sur l’avancement des rapports techniques en cours, le manuel des tunnels routiers et la prochaine édition spéciale de la revue « Routes Roads ». Cette édition sera consacrée à l’exploitation et à la sécurité des tunnels routiers et sera diffusée lors de la conférence internationale qui se tiendra à Lyon du 3 au 5 octobre 2018 (http://www.cetu.developpement-durable.gouv.fr/a-noter-dans-vos-agendas-a1192.html).

Le comité a terminé ses travaux par une visite du tunnel de Seattle (SR 99), 3,2 km, comprenant deux niveaux de circulation. Cet ouvrage devrait ouvrir en fin d’année 2018 et est appelé à accueillir les 2/3 du trafic du viaduc Alaska, construit sur le front de mer en 1954 et qui sera démoli. Ce tunnel s’inscrit dans un ambitieux projet de requalification du front de mer de Seattle qui a fait l’objet d’une présentation très détaillée lors de cette réunion : http://www.wsdot.wa.gov/projects/Viaduct/

La prochaine réunion du comité tunnels de l’AIPCR se tiendra au CETU les 1er et 2 octobre prochain. Elle sera couplée avec les réunions du Comité Directeur et des Groupes d’Activités de ITA-COSUF et la conférence internationale citée ci-avant.

La France est très active au sein de ce comité au travers des représentants suivants : Marc Tesson (Président du CT - CETU), Jean Claude Martin (secrétaire francophone - CETU), Frédéric Ricard (CGEDD), Bernard Falconnat, Frédéric Walet (respectivement animateur et co animateur du GT 5 « infrastructures souterraines complexes ») et Yannick Mallet, tous trois représentants d’EGIS.

Par ailleurs une douzaine de représentants français, venant de VINCI, SETEC, EGIS, CGEDD et du CETU sont impliqués dans les six groupes de travail.

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